Volte-face in no sens#2, mémoire pour le futur

Une performance textuelle, visuelle et sonore qui fait vibrer la mémoire pour le futur :
« Pour faire face, volte-face, pleins phares contre la peur énorme. »

Marie-Helene lafon

Hiroshima, Nagasaki, Tchernobyl, Fukushima. Comment transmettre la mémoire humaine pour sortir de notre sidération et préserver le vivant sur Terre ? Comment faire VOLTE-FACE et ouvrir les imaginaires, vers d’autres possibles ?

Avec des textes profonds, poétiques et parfois ludiques, Volte-face in no sens se veut un appel à la lucidité et à la solidarité, à la beauté qu’on peut trouver dans le fait de regarder la réalité en face, et de tenter de (re-) créer du lien, des liens entre les humains, en harmonie avec le reste du vivant et la planète qui nous héberge.

C’est un appel à l’ouverture des possibles, en poésie !

Notre projet est hybride. Sa colonne vertébrale s’articule autour des mots, mais les mots manquent parfois pour embrasser la réalité de ce qui est vécu par les humains. Pour évoquer ce qui ne peut se dire, ce qui est sensations, émotions, surréel, mots, images fixes ou vidéos, musique constituent nos matières artistiques, tissées ensemble.

Le dispositif scénique est simple. Sont disposés sur la scène, instruments de musique c’est-à-dire 6 taikos et une guitare électrique, micros et pieds, sono. La vidéo sert de dispositif lumière sculptant et transformant la matière environnante. Le dispositif est modulable en fonction du lieu d’accueil, de sa taille et de sa configuration. Il est possible également de jouer à l’extérieur , In situ dans l’espace public urbain , comme une place publique, devant une façade d’immeuble, dans un parc arboré, ou non urbain comme une forêt, une paroi rocheuse, au milieu d’un champ, etc. Un lieu complice des spectateur.trice.s, un lieu aimé ou mal aimé, un lieu qu’on va pouvoir transformer, l’espace d’un moment. Seule contrainte, pour la version en extérieur, elle doit se jouer à la nuit tombée sous la magie des étoiles


DISTRIBUTION

Mise en scène, voix : Chantal Puccio
Taiko, voix : Yumi Célia
Guitare, voix : Hugues Reinert
Design audiovisuel et lumière : Nicolás Dardano
Régie son : Fabien Cruzille
Regard complice : Delphine Bardot

Textes de Marie-Hélène Lafon, Alain Damasio
Chanson en japonais et pièce musicale au taiko Sono Asa et Sanya de Christiane Chaput

Dessins des HIBAKUSHA, collection du Musée du Mémorial de la Paix à Hiroshima :
Yoshiro AMANO, Ayako ARIKI, Asako FUJISE, Rikuo FUKAMACHI, Shoichi FURUKAWA, Hiroshi HARA, Taeko HAYAKAWA, Haruo IKEGAME, Tomiko IKESHOJI (KUBO), Ryuji ISHIGAI, Kazuhiro ISHIZU, Yoshinori KATO, Yoshio KAWATA, Toshiko KIHARA, Hideo KIMURA, Goro KIYOYOSHI, Someharu KOBAYASHI, Shinsaku KOGUCHI, Hiroharu KONO, Taeko MATSUI, Kazuo MATSUMURO, Shizuko MIURA, Kanji MOMOI, Yuko NAKAMURA, Masahiko NAKATA, Yoshiko OGAWA, Sagami OGAWA, Hyoma OKAMOTO, Yo SAITO, Sumie SASAKI, Ekiji SASAYAMA, Yasuko SATO, Asa SHIGEMORI, Michiko SUGIE, Shinobu SUGIMOTO, Yoshio TAKAHARA, Akihiro TAKAHASHI, Akiko TAKAKURA, Harue TAKASHIBA, Hatsue TAKEDA, Isamu TAKEUCHI, Hatsuto TANIMOTO, Shiro TSUKIHARA, Yoshiko UCHIKOSHI, Koji WADA, Akie WATANABE, Sumako YAMADA, Masato YAMASHITA, Hiroshi YOSHII.


PARTENAIRES
Le L.E.M. (Lieu d’Expérimentation Marionnette), Nancy
Maison Lillebonne, Nancy (54)

Le CCOUAC, Site d’Ecurey (55)

Association Vue d’un œuf, centre artistique rural, Fresnes en Woëvre(55)

Association Frag/ment, Metz (57)
Agence Culturel Grand-Est (67)

L’Autre Canal, Nancy (54)

CCAM scène nationale de Vandoeuvre les Nancy (54)
La Nuit des Ours, Vallorcine (74)

Miyamoto Unosuke Shoten, Tokyo


Soutiens financiers: Région Grand Est – ville de Nancy – Département de Meurthe et Moselle – Agence Culturelle Grand Est – FDVA – FONPEPS/Ministère de la Culture – Crédit Mutuel Enseignant

Merci à nos 80 contributeur.rice.s au crowdfunding 2020 sur la plateforme Helloasso